Le 31 mars 2025, Marine Le Pen a été condamnée pour détournement de fonds publics, avec une inéligibilité immédiate qui la prive de l’Élysée 2027 avant même son appel. En transformant une sanction légitime en exécution explosive, les juges risquent de brouiller la frontière entre justice et politique, attisant un ressentiment populaire déjà brûlant. Pour le RN, c’est une aubaine : une leader « exécutée » par le système devient un levier implacable pour galvaniser ses troupes.

Vingt-cinq ans après son arrivée en 2000, Vladimir Poutine a transformé une Russie exsangue en puissance redoutée, multipliant son PIB par 12 et défiant l’Occident avec des gazoducs et des brise-glaces. Pendant ce temps, Emmanuel Macron, autoproclamé virtuose, s’enlise dans une France endettée à 3 000 milliards d’euros, où les ponts s’effondrent et les « plans » nucléaires restent des mirages. L’un bâtit des empires sur des ruines, l’autre jongle avec des promesses qui sonnent creux, laissant la France stagner face à une Russie déterminée. En 2025, le contraste est cruel : Poutine triomphe là où Macron patine.

Derrière les promesses d’une identité numérique européenne sécurisée, un doute persiste : la fin de l’anonymat vaut-elle le confort d’un clic ? De KYB à eIDAS, chaque outil censé protéger l’économie tisse une toile où tout est traqué, sans que nous ayons voix au chapitre. L’histoire nous le rappelle : les systèmes d’ordre d’aujourd’hui peuvent devenir les armes de demain.

Quand j’ai connecté ma LG à mon Mac Mini M2 pour en faire un moniteur, j’espérais un bon équilibre entre immersion OLED et productivité, mais les pertes fréquentes de signal HDMI, un HDR rendant macOS presque illisible et une ergonomie inadaptée m’ont vite ramené à la réalité. Si un gamer ou un cinéphile pourrait s’accommoder de ses qualités visuelles, pour mes 95 % de travail, navigation et code, cette TV premium s’est révélée plus frustrante qu’efficace. Mon ressenti ? Un moniteur dédié reste une option bien plus sûre pour un usage PC au quotidien.

L’euro numérique est présenté comme une avancée technologique, mais il pourrait bien être un cheval de Troie menaçant nos libertés économiques. En centralisant la monnaie sous le contrôle direct de la BCE, il ouvre la porte à une surveillance accrue et à des manipulations monétaires au service des États surendettés. Entre inflation incontrôlée, affaiblissement des banques et économie sous perfusion, cette fausse modernisation risque de dynamiter notre système monétaire. Il est urgent de refuser ce piège avant qu’il ne soit trop tard.

Avec macOS Sequoia, Apple poursuit sa guerre contre les power users. Réglages bridé, Terminal devenu obligatoire, gestion des écrans chaotique : chaque mise à jour enlève un peu plus de contrôle aux utilisateurs avancés. Ce qui se réglait en trois clics sous Tiger nécessite désormais des hacks et des contournements. Apple a-t-il définitivement tourné le dos à ceux qui faisaient la force de macOS ?

PrestaShop était autrefois synonyme de simplicité et d’efficacité, mais depuis la version 1.7, tout a changé. L’intégration de Symfony et d’autres choix techniques ont complexifié la solution, éloignant les indépendants et petits commerçants. Avec le passage brutal à la version 8, la confusion s’est installée. PrestaShop peut-il encore rebondir ?

En 1995, sur Skyrock, Maurice lâchait une vérité brutale sur les banlieues : « Ça nous pétera à la figure. » Trente ans plus tard, ses mots résonnent comme une prophétie. Animateur sans filtre, il donnait la parole aux invisibles, loin des discours lisses des experts. Son regard lucide mérite d’être réécouté aujourd’hui.

En 1990, des leaders occidentaux comme James Baker et Hans-Dietrich Genscher ont assuré à l’URSS que l’OTAN ne s’étendrait pas vers l’Est, une promesse captée dans des archives et vidéos d’époque. Pourtant, dès les années 1990, l’Alliance a entamé une expansion inexorable, intégrant 14 pays souvent aux portes de la Russie. Face aux démentis, les documents déclassifiés révèlent une vérité gênante : l’Occident a joué sur l’ambiguïté, trahissant l’esprit de ces engagements.

L’Ukraine a jeté ses élections aux chiottes, préférant les balles au débat, pendant que la Roumanie dégage son “dangereux” comme on vire un chien galeux. En France, les urnes sont un décor, et en haut, une reine sans couronne trône sur une Europe qui pue le purin. Ces clowns en cravate nous vendent leur démocratie en carton, la bouche pleine de caviar et de mépris.