Paul Argoud

Mes Sony α7 partent en miettes

Utilisant des Sony Alpha 7R (α7R) depuis plus d’un lustre, il me semble important de revenir sur l’assez maigre robustesse de ces boîtiers. De plus, ayant possédé toutes les générations de A7R, je peux assurer que toutes furent victimes des affres du temps et des usages. L’usage reste cependant à relativiser puisque j’utilise certes énormément mes boîtiers mais ne suis pas non plus un photographe de guerre qui soumet son équipement aux plus rudes conditions d’utilisation.

Ayant possédé de nombreux appareils photo reflex Canon, et n’ayant jamais rencontré de fragilité similaire, j’aurais initialement eu tendance à mettre ça sur le compte du facteur de forme hybride « mirrorless » de l’appareil. Néanmoins, après en avoir discuté avec plusieurs photographes, il semblerait que ces vulnérabilités ne touchent pas nécessairement les modèles hybrides des constructeurs concurrents. Ainsi, si le cheminement de mon raisonnement est correct, il serait bon que Sony se remette sur le métier afin de revoir sa copie.

Cependant, il s’agit tout de même de relativiser et de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain puisque ces égratignures n’altèrent en rien le bon fonctionnement et les performances des produits. Désormais, place à ces quelques photos qui ne montrent pas mon a7R II (ILCE-7RM2 pour les intimes) sous son meilleur jour.

Désolé de ne pas avoir nettoyé l’appareil avant de prendre ces photos ? Les plus observateurs noteront le somptueux covering camouflage Shadow Black ? que j’ai minutieusement appliqué à mon (très qualitatif) Zeiss 35mm ?

Comme vous l’aurez compris, côté robustesse, Sony a été un peu léger principalement sur deux points :

Pour les plus sceptiques ? voici quelques liens complémentaires qui étancheront (un peu) cette incroyable soif de savoir !

Article publié le et actualisé le .


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