La taxe foncière : une arnaque légale à abattre
La taxe foncière n’est pas une simple maladresse fiscale. C’est une escroquerie pure et simple, un racket institutionnalisé qui devrait faire rougir de honte ceux qui la défendent. Pire encore, elle flirte avec l’illégalité constitutionnelle, piétinant sans vergogne l’article 13 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui exige une égalité devant les charges publiques. Un principe sacré que l’État brandit en étendard quand ça lui chante, mais qu’il oublie dès qu’il faut remplir les caisses. Propriétaires, on vous prend pour des pigeons, et il est temps de dire stop.
Un calcul sorti d’un mauvais tour de magie
Vous voulez savoir sur quoi repose cette taxe ? Un délire mathématique digne d’un prestidigitateur en fin de carrière. Des coefficients obscurs, des indices tirés par les cheveux, des barèmes de revalorisation qui semblent inventés au hasard… Tout ça basé sur des valeurs locatives datant de 1970, jamais mises à jour avec un minimum de sérieux. Prenons l’exemple concret : votre garage vaut moins que votre salon, mais qui décide du coefficient exact ? Un bureaucrate qui n’a jamais mis les pieds chez vous. Et les abattements pour vétusté ? Un sketch : votre maison de 50 ans devrait être moins taxée, mais les calculs sont si opaques que vous payez plus. Résultat, dans 40 % des cas, votre taxe est surévaluée. Prenez Mme Dupont, à Lyon : sa taxe foncière a doublé en cinq ans sans aucune amélioration dans son quartier. Elle a dû engager un expert, batailler deux ans, pour une réduction de 20 %. Une victoire ? Non, une humiliation déguisée en concession. Ce n’est pas un impôt, c’est un braquage.
Propriétaire ? À vous de vous défendre !
Et comme si ça ne suffisait pas, c’est à vous, citoyen lambda, de jouer les détectives pour prouver que l’État vous vole. Votre maison, votre terrain, votre bien ? Suspects par défaut. Vous devez monter un dossier, supplier pour un recalcul, comme si posséder un bout de béton faisait de vous un criminel. Pendant ce temps, l’administration vous toise, un sourire narquois aux lèvres, en attendant que vous abandonniez. Regardez M. Martin, à Toulouse : sa maison a été classée “luxueuse” parce qu’il avait une piscine… hors d’usage depuis dix ans. Photos, témoignages, rapport d’expert : six mois de galère pour une réduction minable. Bravo, l’administration ! On ne vous taxe pas, on vous punit d’exister.
Les collectivités locales se gavent, les autres regardent
Et qui empoche le magot de ce système pourri ? Les collectivités locales, pardi ! Elles se goinfrent sur le dos des propriétaires pendant que les locataires regardent le spectacle, popcorn à la main. Où est l’équité ? Nulle part. Où est la logique ? En vacances. Où est la légitimité ? Aux abonnés absents. À Nice, la taxe foncière a grimpé de 15 % en trois ans pour financer des projets pharaoniques, tandis que les locataires ne déboursent rien de plus. Les propriétaires paient pour des trottoirs que tout le monde piétine. Et les disparités entre communes ? À Paris, la taxe reste modérée, mais en banlieue, elle explose, créant une injustice territoriale qui hurle au scandale. C’est une pompe à fric qui gave les uns et ignore les autres, sans jamais rendre de comptes.
Des alternatives existent, mais on préfère vous saigner
Vous croyez que la taxe foncière est indispensable ? Faux. Il y a la taxe d’habitation – avant qu’on ne la supprime pour faire joli – ou la contribution économique territoriale, qui tape sur les entreprises. Mais non, on préfère vous saigner, vous, les propriétaires, parce que vous êtes une cible facile. Comparez avec l’Irlande : là-bas, ils ont viré la taxe foncière pour un impôt basé sur la valeur réelle des biens, actualisée chaque année. Juste, simple, efficace. Mais en France ? On s’accroche à un système moisi, parce que changer demanderait du courage. Et nos élus en ont autant qu’une huître collée à son rocher.
Abolir, pas réformer
La taxe foncière est un zombie fiscal, une aberration qui titube encore dans notre système alors qu’elle n’a plus rien à y faire. La réformer ? Un pansement sur une jambe gangrénée. L’ajuster ? Une blague. Non, il faut l’éradiquer, la rayer de la carte à coups de tronçonneuse constitutionnelle. Tant qu’elle existera, elle continuera de narguer les idéaux de justice et d’égalité qui, soi-disant, fondent notre République. Alors, debout, propriétaires ! Criez-le : cette taxe doit crever ! Mobilisez-vous, exigez son abolition, votez pour des élus qui auront les tripes de la supprimer. Parce que si on ne fait rien, ils continueront de nous prendre pour des vaches à lait. Et ça, c’est intolérable.