Venturi 400 GT : La légende française de la performance 🇫🇷

S’il y a bien une caisse, que dis-je un monument automobile, que j’observe avec avidité depuis pas mal de temps, c’est bien la Venturi 400 GT… mais quelle bagnole ! 😍

Qu’on se le dise immédiatement, les yeux dans les yeux, ici vous n’apprendrez probablement rien que vous ne sachiez déjà, au sujet cette automobile française produite à une quinzaine d’exemplaires en plein cœur des années quatre-vingt dix.

Infiniment plus belle, d’après moi, grâce à ses phares escamotables, que la Venturi 400 Trophy dont elle est issue. La bête est motorisée par le V6 3L PRV bi-turbo développé par E.I.A qui développe une puissance de 408 ch et un couple de 520 Nm.

Avec un poids n’excédant guère une tonne… les performances de cette Ferrari F40 à la française (concurrente non dissimulée) devaient être détonantes ! Vraisemblablement, un 0 à 100 km/h effectué en 4 secondes, un 400 mètres départ-arrêté effectué en 12.3 secondes et le 1000 mètres en 22 secondes 🔥

Sauf erreur de ma part, la Venturi 400 est la première voiture de série à recevoir des freins en carbone, français eux aussi, puisqu’en provenance du catalogue de la société Carbone Industrie 😎

J’avoue consulter passablement les sites spécialisés mais j’ai assez peu d’espoir de pouvoir en acquérir un jour, à un tarif à peu près entendable… donc inférieur à trois cent mille euros 👀

Une chose est sûre, je me verrais bien arpenter la route des Grandes Alpes, au volant de ce bolide, avec la cassette de Ballbreaker (album d’AC/DC) enfoncée dans l’autoradio, prête à faire retentir Hard as a Rock dans les enceintes.

Pour finir, je vous laisse avec ces deux vidéos/interviews incontournables pour tous les passionnés de Venturi…

PS : Je remercie les auteurs de toutes les photographies qui illustrent cet article.


Écrivez quelques éclats d'âme...

Dans l'ombre vacillante d'une chandelle, où les murmures du vent se mêlent aux secrets d'un vieux parchemin, je vous invite à tisser une toile de mots. Écrivez quelques éclats d'âme – rêve, étoile, abîme, étreinte, brume – et laissez-les danser sur la page, comme des lucioles dans une nuit d'encre. Que diriez-vous de les entrelacer dans une phrase, un souffle, une histoire ?

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