CPF : le racket au sourire français

Une belle arnaque à la française

Le Compte Professionnel de Formation (CPF), c’est le summum de la foutaise bureaucratique made in France. On te prélève chaque mois sur ton salaire, sans te demander ton avis, pour soi-disant t’offrir une “chance” de te former. Résultat ? Après quelques années, te voilà avec 3 000 balles bloquées dans un compte que t’as jamais voulu ouvrir. Mais attention, pas pour faire ce que tu veux, hein ! Non, juste pour des formations validées par des petits fonctionnaires en roue libre, qui doivent encore taper leurs rapports sur des machines à écrire.

Pour les novices, le CPF est présenté comme un “droit” à la formation pour les salariés. En gros, chaque année, tu cumules des euros sur ce compte – environ 300 balles par an pour un temps plein en 2025, prélevés direct sur ta paye. Sympa, non ? Sauf que cet argent, tu peux pas le claquer comme tu veux. Il est réservé à des formations “éligibles”, autrement dit, une liste approuvée par l’État. Et là, ça commence à sentir le moisi.

Des formations inutiles validées par des clowns

Tu rêves d’une formation utile pour booster ta carrière ? Genre, coder en Python ou te spécialiser dans un truc pointu ? Laisse tomber. Avec le CPF, t’as droit à un catalogue de formations à la con : Excel 2007 (sérieux, en 2025 ?), relaxation par le rire, ou encore “gestion du stress par la peinture sur galets”. C’est quoi, leur délire ? On dirait que les mecs qui valident ça n’ont pas vu un bureau depuis les années 90.

Et si par miracle tu déniches un truc potable, faut encore supplier ton boss pour le faire sur ton temps de travail. Sinon, bonne chance pour caser ça entre ton Netflix et ton sommeil. Autant dire que c’est conçu pour que tu laisses tomber.

Le plafond : le twist qui te fait vomir

Mais le pire, c’est le plafond. Une fois que ton compte atteint 5 000 euros (ou 8 000 si t’es “moins qualifié”), c’est fini, plus rien ne rentre. Tu continues à cotiser tous les mois, mais cet argent, il disparaît dans le néant. Pouf, envolé. Tu bosses, tu payes, et au-delà du plafond, tu récupères que dalle. C’est comme si tu remplissais un seau percé : après un moment, tout ce que tu verses finit dans les égouts de leur système pourri.

Cet argent “perdu” ? Il va bien quelque part, mais sûrement pas dans ta poche. L’État doit se marrer en le récupérant pour financer leurs conneries.

Une épargne forcée qui te nargue

Le CPF, c’est une épargne forcée, mais sans aucun intérêt. On te pique ton fric, on te le garde au chaud, mais tu peux seulement le dépenser dans leur boutique de formations merdiques. Et si t’as pas envie de jouer le jeu ? Tant pis, ton pognon reste bloqué, et passé le plafond, c’est cadeau pour eux. Merci, au revoir.

Un outil pour te tenir en laisse

Au fond, le CPF, c’est pas un droit, c’est une arnaque à ciel ouvert. C’est un moyen de te domestiquer, toi, l’actif qui bosse dur. On te force à cotiser, on te force à suivre leurs règles débiles, et si tu dis non, t’as perdu ton fric. C’est une laisse déguisée en “avantage social”, une façon de te garder dans le rang en te faisant croire que t’as le choix. Spoiler : t’as rien du tout.

À balancer à la poubelle

En résumé, le CPF, c’est une escroquerie bien ficelée. Tu bosses, tu cotises, t’as zéro rendement, des contraintes partout, des formations inutiles, et un plafond qui te vole ton fric. C’est pas un droit, c’est une punition. Si t’as pas encore touché à ton CPF, pose-toi la question : est-ce que ça vaut le coup de rentrer dans leur jeu pourri ? Ou alors, trouve une formation qui te permette de leur cracher à la gueule, genre “Comment démonter la bureaucratie en 10 leçons”.

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